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Des solutions aux défis de la planète

 

 

Une technologie inspirée des étoiles

La lumière du cosmos est liée à des phénomènes complexes comme ceux à l’œuvre dans la couronne solaire : accélération de particules, freinage par ondes acoustiques et d’autres. Ce sont ces mêmes mécanismes que reproduit la technologie Aleph (Amplification of Light Energy by Pulses with Harmonics). Comme les Leds, Aleph est un procédé optoélectronique breveté capable de produire de la lumière sans lampe et avec une consommation électrique réduite. À l’image des lasers les plus puissants, Aleph produit de la lumière sous forme d’impulsions électromagnétiques à très haute énergie capables d’atomiser les particules inertes ou biologiques et de casser n’importe quelle structure moléculaire, voire d’en reformer d’autres. Cette chimie de la lumière est bien connue de la science car elle est à l’origine des principales réactions énergétiques de notre univers depuis des milliards d’années : production d’hydrogène par photolyse directe du méthane dans l’atmosphère de Jupiter ou encore conversion des gaz volcaniques en oxygène et en acides aminés à l’origine de la vie sur terre. Autant de réactions naturelles reproductibles par Aleph qui constitueraient des solutions aux principaux défis de la planète.

 

 

 

La nouveauté ?

Des appareils sans pièces en mouvement, sans consommables, ajustables en taille et en puissance, intégrables partout et capables de reproduire à la demande ces réactions dans tout flux gazeux ou liquide les traversant.

 

 

 

LES APPAREILS ALEPH

Ils mettent en œuvre ces réactions, ont donc une consommation électrique négligeable – de l’ordre de 1 W par 100 m3 de flux dépollué – en consommant simultanément quelques dizaines de nanogrammes de matière, par tonne de flux gazeux qui transite dans le dispositif. Face aux procédés connus de traitement de l’air et de dépollution qui consomment des quantités d’énergie dont la production engendre à son tour pollution et effet de serre, Aleph constitue une complète disruption. Ces appareils permettent notamment la destruction en 1 passage de toutes les formes de germes aéroportés : bactéries, virus, moisissures, spores y compris l’Anthrax. Des tests à l’Institut Pasteur ont notamment montré la destruction du Coronavirus. Il s’agit d’une atomisation sans aucune possibilité de recombinaison. Les taux d’abattement d’ammoniac et d’hydrogène sulfuré, 2 des gaz les plus encombrants pour l’élevage et d’innombrables industries sont de l’ordre de 30 à 40 % pour un temps de transit d’un dixième de seconde. Il suffit de fonctionner en recyclage ou de disposer des équipements en série pour aboutir à la dépollution recherchée. La technologie a déjà prouvé qu’elle peut produire de l’hydrogène ou convertir le CO2 en acides aminés de manière frugale. Les Aleph sont désormais industrialisés et entrent en application dans de multiples secteurs: élevage industriel, traitement des odeurs des stations d’eaux usées, des usines de déchets, de sites chimiques, aéroports, établissements de santé… en Europe, sur le continent américain et en Chine.